Une rencontre inavoué. [PV Nasharys]

(Pardonne moi aussi pour le retard.)

Son aile longer les paroirs pour calmer les idées qui fusée dans sa tête, tout ce qui pourrait lui arriver après ce qu'il fait. "C'est une bonne chose ? Ou je me trompe encore une foi ..." Pensa t-il. Après tout il avait fait, aller t-il abandonnait tout pour cette dragonne qui sembler vouloir au plus profond d'elle même cette liberté.
Il continue dans des galerie qui sembler de plus en plus s’élargir au point de commencer a être asse grande pour qu'un grand nombre de dragon puisse passer les un a coter des autres. Une douleur lui pris au boue de sa queue et il se retint de criée de douleur et se retourna le visage déformer par la souffrance. Givros remarqua la dragon qui était près de lui, elle chuchota a voix basse pour savoir ce qu'il allait prévoir.

-Et bien je vais faire mon prince...


Il s'avança la tête haute et fit disparaitre son rictus de douleur pour un sourire vaniteux. Avec tout la confiance d'un roi il arriva  au centre de la salle et frappa l'un des mannequins pour attirais l'attention de tout les soldas et commença a rugir de colère. Il se mi a les insulter et leur demanda de s’incliner devant pour ne pas l'avoir fait avent qu'il sois arriver.

-C'est COMME cela qu'on fait bande d’imbécile ! Vous devez DÉTESTÉ se fichu boue de tissus et le détruire et non juste lui donner UN petit coups de griffe RIDICULE !

Il faisait de son mieux faire passer cette instant pour une crise d'attention royale qui devais souvent arriver et se mi a criée sur les des soldas qui sembler plus petit que les autres puis s'enfonça au fond de la pièce et leur demande de regardaient comment on se bats vraiment.

Il lança un regard vers le couloir de façon furtive en espèrent que Givre passerait rapidement sans être vue. Il fini par partir dans un autre sans pour ne pas attirait l'attention vers elle. Il fini part filer le plus vite possible par une des fenêtres sur l'une des ailes du batiment après avoir pas mal courue et chercha a rattraper Givre qui sans doute devais sois être encore sur le corridor sois être déjà partie.

Givre entendit la voix du prince s'élever à l'adresse des des soldats. Les pauvres, ils n'avaient rien demandé et ils se faisaient hurler dessus, mais au moins c'était efficace pour attirer leur attention et les distraire pendant que la dragonne se faufilait derrière les colonnes en prenant garde de ne pas laisser sa que traîner derrière. Il aurait pu trouver mieux... pensa-t-elle en l'entendant crier.
Elle ne comprenait pourquoi il l'avait fait le choix de l'aider elle. Elle était moins que rien à ses yeux. Il traitait tout le monde de la même façon, sans distinction. Même sa souer, il n'avait pas hésiter à la sacrifier pour son profit personnel, alors, libérer le Souffle-Mort, tant recherché par la Reine, c'était tout simplement incroyable...
En tout cas, Givre ne soupçonnait pas que ce soit une onde de pitié de la part. Non, elle commençait même à douter à nouveau. Après tout, il l'avait trahie une fois, et il était très capable de recommencer. Elle hésita à partir sans l'attendre. Sans merci ni adieux. Les méritait-il de toute façon..? Et S'il l'entraînait en réalité dans un piège ?
La dragonne secoua la tête. Elle ne voulait pas prendre de risques. Elle tendit l'oreille dans les escaliers en colimaçon ; pas l'écho d'un seul pas, la voie était libre.
Après une interminable ascension dans cet tour étroite et qui sentait fort le renfermé, elle déboucha sur une immense plateforme somptueusement gravée.
Tout était silence, seule le vent du nord sifflait entre les tours et les cols des montagnes au loin qui se découpaient dans l'horizon lavande encore parsemée de milliers d'étoiles.
Givre s'avança au centre de l'espace, ses griffes cliquetant sur le sol lisse et brillant, et prit une profonde inspiration. Cet air libre, qu'elle pensait ne plus jamais pouvoir respirer à nouveau quelques instants plus tôt, lui faisait du bien. Elle examina le foulard bleu entre ses serres. Elle devait le garder à tout prix. C'était la clé de se liberté, la clé d'une porte vers une nouvelle vie.
La dragonne s'embobina dans l'écharpe et découvrit les ailes, prête à décoller.

Battent des ailes comme un forcené, il fini par voir la dragonne sur le point de partir et l'interpel puis la regard dans les yeux cherchent encore le pardon. "Aurais-je ouvert les yeux ? Non... je ne fait que lui laisser ce que ne n'est jamais eu." Son oreille se leva surpris par un bruie et remarque une patrouille en détournent la tête vers la droite. L'aurait il suivie ? Sans réfléchir il s'écria:

-Fuie ! PART LOIN ! Et fini par dire a voix basse.Tu viendras peut être me raconté ce que tu a vue un jour... et . Sans pouvoir finir il fonça sur les gardes pour les combattes, les gardes déboussolait li ne fit que ce défendre jusqu'au moment ou sa sœur sortie avec une autre patrouille et hurla a plein poumons.

Tu à voulue ma mort frère a moi de jouer maintenant, tu a crue que notre mère me laisserais morte ? Nous avons temps d'objet animusé tu es stupide ! Attraper les et si ils cherche a résistaient tuer les tout les deux ! Elle lança un regard a son frère qui le fit frissonné. Sans réalisait la graviter de ses actes de ce soir il du se battre contre une myriade de solda.

"M'aiderait-elle ?" Perdue dans ses pensait il combat machinalement sachant qu'il n'y arriverait jamais seul.

Givre ouvrit de grands yeux terrifiés en voyant la princesse arriver, escortée par de nombreux, de trop nombreux soldats.

"Je pourrais partir. J'ai les moyens. J'ai l'occasion. Qu'est-ce qui me retient ?" pensa-t-elle, alors qu'une voix intérieure lui répondait : "La pitié." "Mais il ne mérite pas le moins du monde d'être sauvé. Il ne mérite rien. Rien que la mort."
La dragonne resta statique, incapable de bouger, pas même de cligner des yeux. Elle était confrontée à un choix qui dépendait de sa morale. Suivre la voix de la justice ou bien la voix de la conscience ?
D'un côté, cet Aile de Glace l'avait trahie, troturée, enfermée, insultée. Pourtant il n'avait finalement pas failli à sa parole. Il l'avait libéré. Il avait même sous-entendu qu'ils puissent se revoir un jour. Qu'est-ce qui lui prenait, tout-à-coup ? Était-il en train de découvrir sa véritable nature de monstre sans coeur ? Visiblement, il mettait sa vie en péril pour sauver la sienne. C'était dur à admettre, mais c'était honorable. Presque héroïque.

Sur cette dernière réflexion, le Souffle-Mort se secoua et hérissa ses multitudes d'épines pour se faire plus grande encore. Roulant des épaules, elle s'avança vers un groupe de trois soldats qui s'approchaient et les fit trébucher d'un violent coup de queue, avant de se tourner vers les assaillants contre lesquels Givros se battait férocement. il s'en sortait plutôt bien, mais il était cerné et les soldats le faisait reculer et il ne pouvait pas leur échapper par un côté ni prendre le risque de leur tourner le dos pour s'enfuir. Chaque fois qu'un soldat tombait, deux autres arrivaient en renfort. Seuls, et désarmés, ils ne tiendraient pas longtemps.
Givre vit plusieurs lames et pointes affûtées s'abattre sur le prince, mais ne parvenait pas à savoir s'il avait été touché. Il y avait du sang, mais impossible de savoir à qui il appartenait. La dragonne inspira profondément puis se rua vers la masse en bousculant tous ceux sur son passage et se plaça devant Givros en ouvrant grand les ailes pour le mettre hors de porté des soldats en face. L'air le plus menaçant qui soit, elle ouvrit grand la gueule, découvrant ses crocs gelés et sa langue presque noire, une lumière bleue brillant au fond de sa gorge, qui émanait du plus profond de ses entrailles, lumière qui progressait vers l'extérieur avant de jaillir de cette gueule immense tel un un éclair dans un orage.

Et ce fut probablement la dernière vision de toute cette foule de soldats qui se tenaient maintenant immobiles, paralysé dans la glace qui enveloppait tout, formant d'immenses pics hérissés, aiguisés comme un tas de crocs sortis du sol.

La dragonne saisit Givros par les épaules, sans se soucier du froid qui dût l'envahir et le tira vers le bord de la terrasse avant de se jeter tous les deux dans le vide.

Une gerbe de sang bleu sortie de sa gueule quand il voulut dire quelque chose a Givre qui l'avait sauvé d'une horrible mort. "Elle ma sauvé pourquoi. Elle aurait du me laisser ... je... POURQUOI ?! Pourquoi je fait tout cela ! Je ... je ne voulais qu'une chose, faire quelque chose de bien pour quelqu'un d'autre une fois dans ma vie."  Il n'allait pas montrait qu'il était faible et comment ça à battre des ailes et dit d'une petit voix.

-Je connais une galerie qui va en direction des ailes de sable. Plongeons dans l'eau pour arrivé de l'autre coter des cotes du palais.

Givros plissa ses ailes et se retiras doucement des griffes de la dragonne, une terrible douleur lui brula ses épaules manquant de le faire s'évanouir mais le contacte de l'eau froide lui fit reprendre ses esprit lâchent toute l'aire de ses poumons dans l'eau.
Serrant les dents avec violence il nageas en direction  du sud ouest pour finir par ce laisser flotter au bore de l'eau avec une grande difficulté il sortie de l'eau, après un longs moment a se laissé dériver il finit de sortir de l'eau tendant une patte en direction de Givre pour la dissuadé de le toucher ou même de l'aider. Une couleur bleu se propagé autour de lui, il avait belle et bien des blessures.

Givre frissonna en entendant Givros vomir son propre sang. Elle hocha néanmoins la tête et le suivit sans discuter.
Elle se posa au bord de l'eau dans laquelle Givros s'engouffra comme un Aile de Boue se baigne dans la fange.
La dragonne grimaça à la vue du sang qui teintait l'eau d'une couleur bleue.


Demanda-t-elle, un peu inquiète.

Mais depuis quand elle s'inquiétait à son sujet ? Pour LUI ? Elle avait pourtant toutes les raisons de le laisser là. Elle lui avait sauvé la vie, c'était déjà bien suffisant.
Givre calma sa colère et la remplaça par son calme et sa compassion naturelle.


Elle fouilla dans ses sacoches. Il n'y avait que quelques petites feuilles. C'était un peu minable.


Articula-t-elle, un peu renfrognée, mais sincère.

Givros pris doucement d'une patte tremblotante les herbes et les mâcha, après quelque minute la douleur fini par disparaitre et profita de recouvrir ses blessure d'un léger souffle de glace.

Tu n'a pas à me dire ça. De toute façon je ne suis plus rien mais au moins toi tu sera libre ce soir. Ce sera la meilleur chose que j'aurais fait dans ma vie. C'est à moi de te dire pardon et merci, je ne suis plus raccrocher a tout ça ...

Regardent le palais, les yeux de Givros le traie expriment un regret de perdre sa famille son cher lui tout ce qu'il avait pour ses actes. Son visage ne sembler plus le même depuis que Givre lui à sauvait la vie, d'une neutralité naturel et son regard n'avait plus aucune colère. Il pris les devants en marchent rapidement dans la neige, après quelque minute sans vraiment dire grand chose Givre commença a s’envole avec une légère difficulté.

Il faut rejoindre les montagnes pour prendre le tunnel vers le royaumes de sable.

Givre le regarda faire, intriguée. Le sang bleu cessa de couler, cristallisé par le souffle de l'Aile de Glace.
Elle hocha la tête et le suivit, mais un bruit capta son attention.
Elle se retourna d'un mouvement sec. Au loin, un escadron de soldats armés s'élancer de la plateforme.


Lança-t-elle à l'intention de Givros. Elle craignait cependant que ses blessures ne finissent pas l'épuiser.
S'ils pouvaient atteindre ce fameux tunnel - qu'à sa grande surprise, elle ne connaisait pas - tout en semant les soldats de la reine, ce serait les portes du miracle, assurément.

Givros grogna en signe que tout ira bien, il serra les dents jusqu'à ce qu'il voit au loin la montagne il fait signe à l'aile de glace d'aller sans attendre.

-Part au loin ne m'attend pas !

Il mi un temps avent d'arriver jusqu'à la montagne, il attendit que Givre passe.

-Continue le tunel donne sur une sorite non loin de tout sais ou.

Il donna un coup violant dans le bas de la montagne et une petit avalanche tomba devant l'entré couvrent toute trace de celle-ci. Avent de faire cela il regarda une dernière foi Givre et lui dit.

-Ne me recroise jamais plus.